Vacances de la Toussaint 2009
Troisième et dernier épisode de la trilogie du Béton de la cuisine.
C'est le plus gros morceau. Au menu cette fois, c'est la transformation de la porte qui donne dehors en fenêtre.
Démonter la porte, ça, c'est le plus facile, il n'y a qu'à couper les pattes de scellement et tirer dessus.
Ensuite, c'est là que ça devient délicat, pour moi qui ne l'ai jamais fait. Il me faut condamner la partie basse de l'ouverture ainsi dégagée, en montant un muret en parpaings.
A mi hauteur, je me sens obligé de couler une petite bordure, histoire de noyer dedans des fers à béton qui pénètrent de chaque côté, pour solidariser l'ensemble avec les murs existants.
Ça donne ça : (c'est avec une certaine satisfaction que j'ai entendu un maçon de métier (en retraite) attribuer une note de 18/20 au travail accompli)
Ensuite, re-parpaings et re-coulage de bas de fenêtre .
Là apparaît une difficulté : la fenêtre fait 85cm de large et l'ouverture en fait 93...
Après moult réflexions, je décide de poser d'abord la fenêtre, puis de m'en servir de base pour poser un coffrage et couler la bordure.
Après une nuit blanche à me demander si je ne m'étais pas complètement planté; je décoffre et finalement, je suis assez fier du résultat !
Au final, même le chat admire mon travail...
Maintenant que le plus gros est fait, il ne me reste plus qu'à attaquer les finitions du palier. (c'est le genre de truc qui prend un temps infini, et qui en plus ne se voit pas forcément du premier coup) Mais j'ai été bougrement content de pouvoir virer la sorte de plancher provisoire qui bouchait depuis plusieurs mois la trémie de l'escalier. Il y a la planche sur le sommet du mur en sous-pente, les joints des pierres et les carreaux de terre cuite sur le rebord de la fenêtre et sur le haut du mur du rez-de-chaussée.
Maintenant, ça a un aspect plus fini... (en fait, j'ai cadré soigneusement la photo pour ne pas montrer le 1/2 mètre carré de joints qu'il me reste à faire...)
Voilà, à la prochaine, pour le début de la trilogie de "Il était une fois j'installe une cuisine"...
C'est le blog de Raphaël, Hélène, Margot, Chocolat et Charlotte. Nous avons créé ce blog pour donner des nouvelles de notre famille, mais aussi et surtout pour faire connaître l'avancement des travaux de notre maison dans la Nièvre...
05 novembre 2009
Et pour quelques gravats de plus...
Une semaine plus tard, retour sur les lieux du (presque) accident de toit.
Cette fois, plus de risque, on a a un tout neuf (enfin presque, il manque encore les ardoises). Au passage, il nous rajoutera quatre aérations de toiture sur la maison.
A notre demande, le couvreur a également remonté le linteau de la fenêtre d'une vingtaine de cm.
C'est là que j'entre en scène, armé de ma truelle, et de mon marteau-perforateur.
Le perfo, c'est pour dégager le reste des joints, pour faire deux murs en pierre apparentes.
La truelle (avec les quelques accessoires classiques, comme un seau, des planches et des serre-joints), c'est pour couler un bas de fenêtre et en poser une toute neuve.
Et voilà :
Evidemment, là, il y a encore l'échafaudage, ce n'est pas très spectaculaire.
Cette fois, plus de risque, on a a un tout neuf (enfin presque, il manque encore les ardoises). Au passage, il nous rajoutera quatre aérations de toiture sur la maison.
A notre demande, le couvreur a également remonté le linteau de la fenêtre d'une vingtaine de cm.
C'est là que j'entre en scène, armé de ma truelle, et de mon marteau-perforateur.
Le perfo, c'est pour dégager le reste des joints, pour faire deux murs en pierre apparentes.
La truelle (avec les quelques accessoires classiques, comme un seau, des planches et des serre-joints), c'est pour couler un bas de fenêtre et en poser une toute neuve.
Et voilà :
Evidemment, là, il y a encore l'échafaudage, ce n'est pas très spectaculaire.
23 septembre 2009
Pour une poignée de gravats
C'est le début d'une nouvelle épopée !!!
C'est l'aménagement de la cuisine qui commence !
Première étape : le changement de toit.
Il y a deux semaines, le couvreur devait venir pour nous en mettre un tout neuf, en ardoise, comme le grand.
Alors, un peu pris par le temps, on a vite fait déménagé la cuisine dans la salle, bougé la cuisinière (en fonte, massive, lourde, quoi...).
Je me suis alors armé d'un pic de maçon, de mon marteau-perforateur préféré, d'un pied-de-biche (musclé, le machin) et en avant la musique !
Voilà, après deux aller-retours à la déchetterie :
Il ne reste qu'un petit morceau du plafond : la dernière solive au-dessus de la porte.
En effet, au moment de l'arracher avec mon pied-de-biche, LE TOIT TOUT ENTIER s'est déplacé d'environ 10 cm !
Je me suis arrêté. J'ai fermé les yeux. J'ai répété dans ma tête : "non, le toit ne tombe pas...".
Apparemment, ça à marché, puisque je suis là à vous raconter ça, et pas à l'hôpital, en petits bouts tout plats...
L'explication est simple : le toit de la cuisine tient... parce qu'il a l'habitude !
Le solin est complètement désolidarisé du pignon de la maison, le pignon de la cuisine, au dessus de la porte, est dans un état lamentable, calé par un bout de bois que j'avais eu l'heureuse idée de mettre là il y a trois ans...
Bref, je laisse le soin au couvreur de se débrouiller avec le machin.
Suite au prochain numéro !
La salle de bains - Epilogue
Septembre 2009
On peaufine les derniers détails de la salle de bains, à savoir la pose de porte (en chêne massif, s'il vous plaît !) dûment traitées et lasurées en deux couches. Plus l'ajout d'un porte-serviette en bois peint couleur framboise et d'un petit radiateur (l'hiver approche, n'en déplaise à l'été indien qui rayonne dehors).
La classe, non ?
Au passage, une petite alerte à cause d'une fuite d'eau. Vite résolue, en fait, car il ne s'agissait que de changer les joints des deux robinets.
D'ailleurs, je mets au défi quiconque parviendra à obtenir deux joints de caoutchoucs qui s'adaptent parfaitement à des robinets âgés de plus de 50 ans, en déboursant seulement 0.80 €. (autrement dit, sans être obligé, par exemple d'acheter 2 lots de 75 joints à 12.48€ chez Cast..., parce qu'il n'y a qu'un joint par paquet !) Vive la petite droguerie du patelin du coin !
03 septembre 2009
L'épopée des Chiottes Episode III : La Revanche des Sioths
Eté 2009. On a été bien occupés...
On a bien sûr profité de nos vacances, pour déguster quelques champignons, se baigner, visiter deux ou trois trucs, mais surtout, pour finir la salle de bains...
On en était resté à une vague structure en profilés acier. Après quelques plaques de BA13 hydro, voilà ce que ça donne. On notera qu'une fois de plus, j'ai démonté les chiottes... Démonter et remonter les chiotes, ce n'est pas non plus une obsession, c'est simplement que quand on veut se servir d'un local en cours d'aménagement, on est obligé !
Le truc gris qui recouvre le sol, c'est un "complexe d'étanchéité". A noter que j'ai renoncé à couler un ragréage : en fin de compte, le sol n'est pas irrégulier, plat et pratiquement horizontal.
Ensuite, c'est assez simple : deux passes de sous-couche, puis deux ou trois couches de peinture blanche satinée et on peut passer aux choses sérieuses : le carrelage !
D'abord l'échauffement, avec la faïence au mur autour du lavabo. La pose est en diagonale, décalée avec des cabochons en pâte de verre. Le résultat est pas mal du tout, non ?
Puis, le sol : Là, on s'aperçoit qu'il n'y a pas de droit à l'erreur, surtout que j'ai choisi des joints de 2mm de large.
Comme écrit dans tous les livres et magazines de bricolage, il faut commencer au milieu de la pièce, pour reporter les découpes sur le pourtour. Au passage, merci Bernard, pour la carrelette électrique !
Dans notre salle de bains, les carreaux font 30X30, les cabochons sont faits de 4 carrés de pâte de verre (les mêmes que pour le tour du lavabo). Il n'y a qu'un carreau aligné sur la diagonale de la pièce : celui du milieu. Tout le reste est calé sur ce carreau...
Il n'y a plus qu'à mettre le joint blanc pour terminer le sol.
Et pour finir : on pose la douche !
Après lui avoir fait passer quelques mois en pièces détachées à la cave, nous l'avons montée à l'étage. Ca n'a pas été une mince affaire, chaque colis pesant entre un âne et un âne et demi... Merci David, pour les muscles ...
Après ensuite quelques angoissantes heures à se débattre avec la notice de montage, l'appel au secours au voisin, car il manquait 30 cm de tuyau PVC (Dimanche, vers 11 heures...), les quelques 3864 vis, boulons, écrous, joints de toutes tailles et de toutes matières, nous sommes entrés, officiellement, dans le monde civilisé, car dotés d'une salle de bains complète et opérationnelle ! (J'ai même pas oublié la liaison équipotentielle locale. Pour comprendre de quoi il s'agit, z'avez qu'à chercher...)
J'ai pris la première douche le lundi 03 août 2009, à 17 heures 47...
Au passage, je précise que j'ai eu la joie, immense, de re-re-re-re-monter les chiotes, mais pour la dernière fois !
Maintenant, il n'y a plus que les finitions : ajout d'une tablette et d'un bandeau sous le lavabo (ça, c'est fait), une étagère dans l'alcôve entre les deux placards (à faire), doubler l'intérieur des placards en placo et ajouter une étagère dans celui de gauche (c'est fait, pour celui de gauche), poser les portes des placards (à faire) et les plintes (à faire aussi, du moins quand Hélène et moi on sera tombé d'accord sur la matière, la couleur, brillant, pas brillant, la largeur, des noeuds, pas de noeuds, est-ce qu'on démonte ENCORE le chiotte pour les poser?, etc...)
23 juin 2009
L'épopée des Chiottes : Episode II - deuxième partie
Week-end du 21 juin
Et on continue avec les chiottes. (Je vous assure que pourtant, je ne suis pas obsédé du transit intestinal !...)
On Commence avec un peu de plomberie, à savoir l'ajout de la conduite d'eau chaude depuis la cave avec la pose d'un cumul de récupération de 50 l (on verra plus tard pour le définitif, qui devra faire 150 ou 200 l), ainsi que l'alimentation en eau chaude et froide du lavabo et la pose de l'évacuation du même lavabo.
On peut voir au passage la structure des futurs placards en sous-pente.
Je suis ensuite passé aux choses sérieuses : la placage. Avec du BA13 hydro, deux fois plus dense que l'ordinaire et donc bien plus lourd, ça n'a pas été une partie de plaisir, surtout pour le plafond, dont la mise en place a été ponctuée de moult grognements, cris, et autres commentaires plus ou moins désobligeants sur les capacités intellectuelles des uns et des autres...
Puis, à partir de planches de chênes brutes, j'ai fabriqué sur mesure le support de la vasque (de récupération, elle aussi) et l'entourage de la partie en pierres apparentes
Enfin, petite séance de bouchage de trous et de jointoiement de placo, et voilà le résultat... partiel, puisque je n'ai pas fini.
Rendez-vous au prochain numéro pour la pose du carrelage et la fin des placards !
Et on continue avec les chiottes. (Je vous assure que pourtant, je ne suis pas obsédé du transit intestinal !...)
On Commence avec un peu de plomberie, à savoir l'ajout de la conduite d'eau chaude depuis la cave avec la pose d'un cumul de récupération de 50 l (on verra plus tard pour le définitif, qui devra faire 150 ou 200 l), ainsi que l'alimentation en eau chaude et froide du lavabo et la pose de l'évacuation du même lavabo.
On peut voir au passage la structure des futurs placards en sous-pente.
Je suis ensuite passé aux choses sérieuses : la placage. Avec du BA13 hydro, deux fois plus dense que l'ordinaire et donc bien plus lourd, ça n'a pas été une partie de plaisir, surtout pour le plafond, dont la mise en place a été ponctuée de moult grognements, cris, et autres commentaires plus ou moins désobligeants sur les capacités intellectuelles des uns et des autres...
Puis, à partir de planches de chênes brutes, j'ai fabriqué sur mesure le support de la vasque (de récupération, elle aussi) et l'entourage de la partie en pierres apparentes
Enfin, petite séance de bouchage de trous et de jointoiement de placo, et voilà le résultat... partiel, puisque je n'ai pas fini.
Rendez-vous au prochain numéro pour la pose du carrelage et la fin des placards !
13 juin 2009
Et enfin, la fin des hangars !
Décidément, ce week-end de Pentecôte est fructueux !
En effet, la semaine précédente, j'avais entamé la ligne droite finale de démolition du hangar qui reste, en démontant tout ce que je pouvais.
Au résultat, il reste deux ignobles poteaux en béton, qu'il m'est, j'imagine, impossible de démonter seul, à moins d'y consacrer les deux prochaines années...
Fort heureusement, nous avons un généreux voisin, doté fort à propos d'un tracto-pelle. Nous avons réussi à le soudoyer avec un café, pour qu'il vienne ôter les deux poteaux. Ce qui fut fait de belle manière :
Maintenant, on voit la maison !
Avec en plus le petit barnum, on est comme des coqs en pâte !
On en a même profité pour commencer la cabane de Margot sur pilotis...
En effet, la semaine précédente, j'avais entamé la ligne droite finale de démolition du hangar qui reste, en démontant tout ce que je pouvais.
Au résultat, il reste deux ignobles poteaux en béton, qu'il m'est, j'imagine, impossible de démonter seul, à moins d'y consacrer les deux prochaines années...
Fort heureusement, nous avons un généreux voisin, doté fort à propos d'un tracto-pelle. Nous avons réussi à le soudoyer avec un café, pour qu'il vienne ôter les deux poteaux. Ce qui fut fait de belle manière :
Maintenant, on voit la maison !
Avec en plus le petit barnum, on est comme des coqs en pâte !
On en a même profité pour commencer la cabane de Margot sur pilotis...
L'épopée des chiottes : Episode II
Bon, Cette fois, reprise des travaux au cours d'un long week-end non pas du 1er mai, mais du 1er juin, (lundi de Pentecôte), après bien sûr un vigoureux nettoyage de l'objectif de l'APN.
On avait laissé les choses à peu près dans cet état : (petit zoom au passage, sur la fenêtre et son rebord en terre cuite)
Mais, qui dit W.C. dit ... odeurs et qui dit salle de bains dit humidité !
Pour remédier aux deux problèmes, je profite de la présence d'une deuxième ouverture existante dans le pignon pour y installer un aérateur.
Première étape, fabriquer et sceller une pièce en béton traversée par un tuyau :
Ensuite, après moult calculs, montages à sec, remontages et autres perçages de trous, pose d'un aérateur dit "intermédiaire", qui sera relié ultérieurement à la bouche d'aspiration par un tuyau souple. A noter que cet aérateur est commandé par un interrupteur. Au passage, pose de l'alimentation des trois points d'éclairage.
On avait laissé les choses à peu près dans cet état : (petit zoom au passage, sur la fenêtre et son rebord en terre cuite)
Mais, qui dit W.C. dit ... odeurs et qui dit salle de bains dit humidité !
Pour remédier aux deux problèmes, je profite de la présence d'une deuxième ouverture existante dans le pignon pour y installer un aérateur.
Première étape, fabriquer et sceller une pièce en béton traversée par un tuyau :
Ensuite, après moult calculs, montages à sec, remontages et autres perçages de trous, pose d'un aérateur dit "intermédiaire", qui sera relié ultérieurement à la bouche d'aspiration par un tuyau souple. A noter que cet aérateur est commandé par un interrupteur. Au passage, pose de l'alimentation des trois points d'éclairage.
L'épopée des chiottes : Episode I
Comme Georges L. j'avais commencé par le milieu de la série, pour des raisons de manque de moyens techniques et en l'occurrence, par manque de pièce où l'installer puisqu'à l'époque, le grenier n'était... qu'un grenier !
Or, depuis quelques mois, la pièce est disponible, nous nous devions donc de reprendre l'apopée à son premier épisode :
Et voilà donc les gogues ! :
Oui, enfin, non, ça, c'est plutôt la partie du mur de la salle de bains, au-dessus du lavabo, qui restera en pierres apparentes.
On l'a traité en joints à la chaux teintée avec du sable local.
Voici donc, après la pose d'une structure je l'avoue assez complexe (vive le meccano de mon enfance), le chiotte, à l'endroit où il se trouvera tout à la fin...PS : je suis désolé pour le flou, qui n'a rien d'artistique mais qui est dû au passage malencontreux d'un doigt gras sur l'objectif !
Or, depuis quelques mois, la pièce est disponible, nous nous devions donc de reprendre l'apopée à son premier épisode :
Et voilà donc les gogues ! :
Oui, enfin, non, ça, c'est plutôt la partie du mur de la salle de bains, au-dessus du lavabo, qui restera en pierres apparentes.
On l'a traité en joints à la chaux teintée avec du sable local.
Voici donc, après la pose d'une structure je l'avoue assez complexe (vive le meccano de mon enfance), le chiotte, à l'endroit où il se trouvera tout à la fin...PS : je suis désolé pour le flou, qui n'a rien d'artistique mais qui est dû au passage malencontreux d'un doigt gras sur l'objectif !
J'ai un tuyau pour vous !
Vacances de Pâques 2009.
Nous nous sommes lancés dans la plomberie (sans plomb, ni cuivre). C'est une découverte pour moi qui n'avais eu à faire jusqu'à maintenant qu'au remplacement d'un robinet et autres babioles du genre.
Là, il faut tout faire de zéro.
Alors je commence par la fin, histoire de pouvoir intégrer les tuyaux dans les cloisons, pour l'esthétique.
Une chance, il existe les tuyaux multicouches, assez faciles à poser, et qui permettent en plus d'avoir un conduit continu sans aucun raccord depuis la répartition jusqu'au robinet, ce qui élimine d'office tout problème lié aux fuites à l'intérieur des murs...
Voici donc mes premiers tuyaux, dans la salle de bains encore en devenir :
D'abord, la partie immergée de l'iceberg, qui sera cachée
Ensuite, l'alimentation de la douche, finie. Il ne "reste" qu'à amener l'eau de la cave et alimenter les toilettes et le lavabo.
Nous nous sommes lancés dans la plomberie (sans plomb, ni cuivre). C'est une découverte pour moi qui n'avais eu à faire jusqu'à maintenant qu'au remplacement d'un robinet et autres babioles du genre.
Là, il faut tout faire de zéro.
Alors je commence par la fin, histoire de pouvoir intégrer les tuyaux dans les cloisons, pour l'esthétique.
Une chance, il existe les tuyaux multicouches, assez faciles à poser, et qui permettent en plus d'avoir un conduit continu sans aucun raccord depuis la répartition jusqu'au robinet, ce qui élimine d'office tout problème lié aux fuites à l'intérieur des murs...
Voici donc mes premiers tuyaux, dans la salle de bains encore en devenir :
D'abord, la partie immergée de l'iceberg, qui sera cachée
Ensuite, l'alimentation de la douche, finie. Il ne "reste" qu'à amener l'eau de la cave et alimenter les toilettes et le lavabo.
Encore un peu dehors...
02 avril 2009
Et le jardin, dans tout ça ?
Eh ben, le jardin, il évolue, les plates-bandes embellissent, les crocus sortent et les jonquilles sont en forme !
Du fait qu'on a maintenant un bûcher, j'ai débarrassé le hangar du tas de bois, non sans avoir au préalable recoupé celles qui malencontreusement ne rentraient pas dans le poêle.
En outre, j'ai joué de la tronçonneuse, en fait, je me suis pris pour le personnage principal d'un fameux film des années 70, dont le thème est la dextérité à l'usage du sympathique outil à moteur...
Bref, il y a une haie qui l'a senti passer, ainsi que pas mal de ronces !
On en a profité pour tenter d'éradiquer par le feu la souche d'une sorte d'arbre étrange qui persiste à repousser, même coupé au ras du sol.
Mais je n'ai pas tout brûlé. J'ai repris le travail de construction de la clôture, à base de branches de noisetier "tressées" entre des piquets plantés à intervalles réguliers.
Au final, on a une jolie vue du côté nord :
Pour finir, il y a le cadeau d'anniversaire d'Hélène : un cerisier, que nous avons planté avec soin dans l'herbe.
Du fait qu'on a maintenant un bûcher, j'ai débarrassé le hangar du tas de bois, non sans avoir au préalable recoupé celles qui malencontreusement ne rentraient pas dans le poêle.
En outre, j'ai joué de la tronçonneuse, en fait, je me suis pris pour le personnage principal d'un fameux film des années 70, dont le thème est la dextérité à l'usage du sympathique outil à moteur...
Bref, il y a une haie qui l'a senti passer, ainsi que pas mal de ronces !
On en a profité pour tenter d'éradiquer par le feu la souche d'une sorte d'arbre étrange qui persiste à repousser, même coupé au ras du sol.
Mais je n'ai pas tout brûlé. J'ai repris le travail de construction de la clôture, à base de branches de noisetier "tressées" entre des piquets plantés à intervalles réguliers.
Au final, on a une jolie vue du côté nord :
Pour finir, il y a le cadeau d'anniversaire d'Hélène : un cerisier, que nous avons planté avec soin dans l'herbe.
Le placo, toujours
Après avoir récupéré la petite famille, cette fois, on empoigne le pinceau.
En vue, le premier passage de la sous-couche spéciale placo...
On a même mis Margot au travail :
Et puis, comme il faut bien s'occuper en attendant que ça sèche, il nous a pris l'envie subite d'avoir un bûcher, pour abriter le précieux combustible qui réchauffe nos soirées et cuit la tambouille...
Il a fallu démonter ce qui restait du plancher qui se trouvait à environ 1 m70 du sol, dégager les gravats (je crois que je n'ai jamais transporté aussi lourd dans la remorque...).
Le résultat est pas mal :
Surtout si on se souvient d'avant.
Ensuite, deuxième couche :
De mieux en mieux !
En vue, le premier passage de la sous-couche spéciale placo...
On a même mis Margot au travail :
Et puis, comme il faut bien s'occuper en attendant que ça sèche, il nous a pris l'envie subite d'avoir un bûcher, pour abriter le précieux combustible qui réchauffe nos soirées et cuit la tambouille...
Il a fallu démonter ce qui restait du plancher qui se trouvait à environ 1 m70 du sol, dégager les gravats (je crois que je n'ai jamais transporté aussi lourd dans la remorque...).
Le résultat est pas mal :
Surtout si on se souvient d'avant.
Ensuite, deuxième couche :
De mieux en mieux !
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