03 avril 2012

Janvier 2011 - Reprise après (encore) une longue pause.

Cela fait une éternité que je n'ai rien posté dans ce blog.
Alors, on va reprendre où on en était : aux finitions de la cuisine...

Une fois les meubles posés et le plan de travail fait, on est passé au sol. On a trouvé un carrelage en grès cérame teinté pleine masse, étanche et tout et tout, pour un prix dérisoire dans un magasin d'usine à Decize. Avec les plinthes assorties, bien sûr.
On passe d'abord un petit coup de ragréage, puis le carrelage et enfin les plinthes....


En même temps que le carrelage, on a aussi pris des petits carreaux couleur ardoise, avec quelques carreaux en inox et des listel en aluminium brossé, histoire de faire une jolie crédence :


Ça, c'était en janvier 2011. C'est un tout petit peu plus tard que je me suis aperçu que j'avais fait une toute petite erreur... de taille.
En effet, j'ai mis des plinthes partout, y compris dans l'alcôve destinée au lave-vaisselle. Or, une fois que j'ai voulu installer le dit lave-vaisselle, il n'y avait pas la place !
J'ai dû démonter les plinthes....

12 mai 2011

Octobre 2010 : Toujours une affaire de poêle....

Retour à la cuisine, donc...

Le ragréage coulé, je m'aperçois dans un premier temps qu'il y a de gros défauts d'aspect et de texture, ce qui m'oblige à remettre une petite couche, de finition, on pourrait dire.


Ensuite, ponçage très fin, puis on sature le matériau avec un mélange 50% essence de térébenthine / 50% huile de lin. Au final, on obtient un aspect de pierre lisse, avec des motifs sortis d'on ne sais où....

J'ai aussi installé les portes, dûment vernies, avec, au passage, un coup de peinture blanche sur les étagères à l'intérieur des placards.
Enfin, j'ai posé les encadrements de fenêtre en chêne...

On s'approche du résultat final recherché. Prochaine étape : le carrelage !



Octobre 2010 : On commence par prendre la porte

On allait pas laisser tout ça comme ça.

D'abord : la porte d'entrée.... Ça m'a valu une grippe carabinée, mais on l'a posée, cette porte, enfin !

En effet, poser une porte de jour, quand il fait beau, c'est trop facile. J'ai donc décidé de la poser en commençant l'après-midi...
La dite porte étant fraîchement lasurée du matin, on pensait naïvement que la pose serait une formalité...

Mais...

A défaut d'avoir les moyens pour du sur-mesure, on a choisit d'adapter les mesures de l'ouverture à celles de la porte : 1 seul petit centimètre, que je croyais au début, qui est devenu 4 cm. Il était prévu dès le départ de faire sauter le carrelage pour poser un paillasson intégré au sol, mais là, j'ai dû taper plus bas, pour que la porte passe... En plus, pour faire bonne mesure, le marteau-perforateur a rendu l'âme en cours de route, m'obligeant à retourner à l'ancienne méthode : marteau + burin + muscles + bordées d'injures....
j'ai finalement terminé à 22 heures 00, par - 5 °C (température ressentie : -10 °C), mais le résultat est là :




Fini le courant d'air vitré : maintenant, on a un vrai truc qui ferme vraiment à clé... et qui laisse le froid dehors.

Reprise après une (longue) pause

Non, pas dans les travaux, mais dans les comptes-rendus que j'en donne...

On en était où, déjà ?  A la cuisine, je crois.... Il y a eu un peu d'évolution, depuis !

07 novembre 2010

La cuisine au poil !

Retour le week-end suivant . et on continue sur la même lancée !

On ajoute ce qui manquait, à savoir les bandeaux en haut et en bas. (Le trou au milieu, c'est exprès, il y aura une étagère visible...)












Puis on ajoute la partie haute de l'emplacement du four.














Et on passe aux choses plus sérieuses, à savoir la pose du premier plan de travail, suivi du second.
Dans les deux, j'ai percé les différents orifices nécessaires pour l'équipement (évier, robinet et plaque de cuisson), lesquels orifices sont équipés d'une bordure provisoire de 1 cm d'épaisseur, et j'ai également posé un alèse en chêne sur l'avant.







Ce qui me permet de couler une bonne couche de ragréage (après une couche de primaire d'accrochage)












Pour finir, comme il me reste cinq minutes, je mets la lanterne. (Ca fait mieux que l'ampoule qui pend !)

Fin septembre 2010 - Une cuisine en béton...

Cellulaire, le béton.
On a choisi, pour faire du sur-mesure, de faire une structure en béton cellulaire.

Première étape : passer le carrelage à l'acide, pour un bonne adhérence de la colle.



Ensuite, c'est comme du Lego, en un petit peu plus compliqué : il n'y a pas de machins qui dépassent pour imbriquer les blocs.

Et, petit à petit, tout prend forme, en deux jours....


Fin du premier jour : la partie "haute" est achevée. Ici, il y aura l'évier et à gauche, l'emplacement du lave-vaisselle.
Les observateurs aguerris auront remarqué l'encadrement de la future porte (le meilleur moyen pour obtenir les bonnes dimensions...)















Fin du deuxième jour : la partie "basse" est bien avancée. Il manque encore les bandeaux en partie basse et haute, plus la moitié supérieure de l'emplacement du four (tout à droite)

Dédut septembre 2010 - La cuisine au poil !

Une semaine de congés, mais à la fin du mois.

En attendant,j'installe la plomberie complète, en remplaçant au passage la partie en cuivre qui allait jusqu'au lave-linge, à la cave.
Eau froide et chaude, plus le robinet installé provisoirement, pour pouvoir mettre en pression.

C'est bon, pas de fuites à signaler !