09 octobre 2007

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Toi, toi, mon Toit

Noël 2006

Ca y est, nous avons un toit, les choses commencent à prendre sérieusement tournure !Dès notre arrivée, c'est certain, la maison a un autre aspect....


On peut même aller dans le grenier (toujours en passant par l'extérieur...) sans avoir besoin d'une lampe : il y a des fenêtres !

Une grande :


Je sais, elle est haute, mais si on l'avait mise sous la poutre, en comptant le (futur) plancher, elle aurait été trop basse. Sans compter qu'au niveau de la sécurité, une ouverture béante à 45 cm du plancher, c'est très moyen quand on est à 4-5 m du sol..





Une petite:

Sinon, comme il faisait froid, on a surtout fait du tri et du rangement... Par le feu. Il y avait toute la vieille charpente et un tas de bidules et de machins combustibles... A un moment, il y avait des flammes de 5 mètres.... Je me suis bien amusé.



Pour finir, on a eu la visite de ma mère et de François (derrière l'appareil), avec qui on a cassé une croûte.



06 octobre 2007

Un toit sur la tête

Novembre 2006

C'est un moment important des travaux de la maison : l'apparition d'un toit.

Le 23 novembre 2006,on était invités au bal de promotion d'une compagnie d'élèves gendarmes à MONTLUCON. Au retour, on en a profité pour faire un petit détour (500 km), pour aller voir l'avancement des travaux.

Il y avait au menu plusieurs choses : la surélévation de l'ouverture entre la salle et l'appentis en brique, le percement d'une porte fenêtre et ... le toit.
Pour la surélévation, comme on peut le voir, pas de problème, sauf qu'on a retrouvé un champ de bataille dans la maison, des gravats partout, des étais, on a eu l'impression que ça allait se casser la figure. En attendant, le gars a fait un bon travail : il a repris la pierre qui servait de linteau et s'est servi d'autres pierres qu'on avait récupérées.
Le seul reproche, ce serait qu'il a bien rempli les joints au ciment, ce qui risque de me poser des problèmes quand je vais devoir faire le mur en pierres apparentes.
Ca ne se voit pas beaucoup, mais pour le reste du linteau, ce sont des poutres en chêne qui ont servi. Ces poutres, elles étaient en quelque sorte cachées sous le hangar, il doit y avoir un arbre entier, là. Il y a de quoi faire des volets, le linteau de la future porte-fenêtre, et sans doute d'autres choses encore...
Sinon, pour le toit, voilà ce que ça donne :

On ajoute à cela le froid, la pluie fine, un vent glacé qui fait sinistrement battre la bâche plastique et on obtient : un couple qui au lieu de passer un moment dans sa maison, casse une croûte vite fait dans la voiture et prend la fuite à toutes jambes, en espérant ne plus revoir une telle vision de cauchemar !

05 octobre 2007

Nos ferrailles !

Date de l'événement : entre la date d'acquisition de la maison et l'été 2007 (c'est long !)

En observant les posts du début, il est facile de se rendre compte que nous avions quelques petites babioles qui nous encombraient un peu :... Bon, d'accord, on avait BEAUCOUP de ces trucs, et lourds, en plus. Et encore, sur la photo, il n'y a pas tout!

Il nous fallait confier la mission spéciale de nous débarrasser de ces trucs à un spécialiste : le ferrailleur !

C'est une éspèce animale particulière : quand on lui téléphone, il dit qu'il vient et ne vient pas; quand il vient, finalement, il n'emporte pas tout (que ce qui l'intérresse).

Du coup, après quelques aller et retours de remorque et UN passage du ferrailleur qu'on nous avait conseillé, il nous restait encore ça :Je vous épargne la vue d'un moteur de tracteur (qui va avec la carcasse) et de la douzaine de pneus de poids lourd et de tracteur, dont PERSONNE ne veut !

Au cours de l'été 2007, je me suis décidé (après qu'hélène ait un peu insisté) à contacter un autre ferrailleur. Et là : miracle ! félicité absolue ! nirvana des sens !
IL EST VENU TOUT DE SUITE !!!!!!!!
Il est venu avec un petit camion, équipé de l'outil le plus fabuleux que j'aie jamais vu : LA GRIFFE ! (les américains disent THE CLAW, on croirait le titre d'un film !)
Et voilà :


En quatre coups de griffe, il nous a débarrassé de nos machins intransportables, y compris le fameux moteur et la tonne et quelques de pneus qui nous restait !

En fin de compte : les ferrailleurs, c'est comme les flics ou les profs : il y a les bons et il y a ... les autres !

L'épopée des Chiottes III : Le Retour des Chiottes...

Toussaint 2006
Eh oui !
On en était restés à la dalle, au cours de l'été 2006, pendant lequel il a failli faire beau (souvenez-vous !).

Au départ, le projet était de monter rapidement à la cave une salle d'eau complète, pour jouir du confort moderne.
Puis, finalement, on s'est orientés vers l'essentiel : Le chiotte ! En effet, rien ne nous empêche de faire comme on faisait il n'y a pas si longtemps : on se lave dans une bassine, dans la pièce principale !

Ce qui nous amène à : ... rien.
On s'est contenté de remettre le fameux Siège à sa place, dûment branché au tuyau, au beau milieu de la cave (enfin, dans un coin, quand même). ce qui présente un avantage : Il y a de l'echo, on se sent moins seul.... Un inconvénient aussi : personne d'autre ne peut aller chercher un outils pendant que c'est occupé (un peu après aussi, d'ailleurs...)

Sinon, c'est pratique de ne plus avoir à chausser des cuissardes pour aller aux toilettes.
Pour terminer cette phase du gros oeuvre à la cave, il ne m'est plus resté, gràce à l'expérience acquise au cours de l'été, qu'à faire une petite dalle dans l'entrée, flanquée de deux magnifiques marches :


Enfin, avant de partir, on a nettoyé un peu autour de la maison et rassemblé quelques petits cailloux, qui pourront nous servir plus tard... Evidemment, pour ne pas changer nos habitudes, on les a trimballées à la main !

Reprise des travaux !

Après une longue période de mutisme, je suis en mesure de publier à nouveau. Je vais donc reprendre l'évolution de la maison, là où j'en était resté....

Prochainement, le dernier épisode de la trilogie des chiottes !