Tout d'abord : le plaisir avant le boulot !
On est partis à la chasse, et on a un beau tableau : au moins quarante victimes (et le double de cornes).
Ceux-là, on les a cuisinés en cassolette (sans les coquilles, pour les incultes...)
Ensuite : au boulot !
D'abord dehors : (ça, c'est Hélène)
Au programme, une fois enfin débarrassés de l'encombrant moteur, on a pu aménager une jolie plate-bande contre le garage. Reste à es
pérer que les boutures reprennent....
On en profite pour débroussailler un peu autour du garage et surprise : on dégage un très jolie clôture à l'ancienne, en branches d'aubépines et de noisetier, passées entre des piquets. Ca, on le garde !
Après : l'intérieur :
En premier, on perce une trémie dans le plancher du grenier, pour pouvoir y monter depuis l'intérieur. Il suffit d'ajouter une échelle de meunier ramenée depuis Valréas (si, si...) et le tour est joué !
Il ne me reste plus qu'à poser une fenêtre pour obtenir une nouvelle pièce à la maison. En théorie, seulement, car pour l'instant, il n'y a rien et ce n'est pas habitable.
Les plus attentifs auront remarqué qu'il y a des fils qui pendent et qui serpentent au sol.
C'est normal, j'ai commencé l'électricité. A noter qu'on trouve tous les renseignements dont on a besoin dans le fascicule édité par Promotélec. (Il faut aussi : de la patience, de l'organisation, de la patience, du bon sens, de la patience et... de la patience !)
J'ai aussi, entre juin et la fin des vacances d'été, posé l'isolation et deux petits carreaux de verre (roses), pour fermer l'ouverture qui se trouve pile au dessus de la fenêtre du dessous (ça aurait été dommage de condamner cette ouverture.
Pour l'instant, notre projet d'extension se trouve dans l'alignement de la maison et la fenêtre est censée être provisoire et servir plus tard de passage.