Ça y est, je me lance !
On a opté pour un plancher en OSB posé sur chevrons, ce qui nous permet de disposer d'une surface immédiatement utilisable, en attendant de choisir le revêtement définitif.
On avait hésité à faire une dalle en béton allégé, notamment en raison de l'apport important d'humidité que ça représentait, sans compter le délai de séchage... Quant à la dalle sèche, outre le prix élevé (très), les professionnels qu'on a consulté nous ont dit qu'on manquait de recul concernant cette technique et qu'on ne savait pas quelle allait être la tenue à 10 ou 15 ans. (Si c'est pour tout changer tout les 3 ans, c'est pas la peine !)
Tout d'abord, on dispose un film plastique, qui joue un triple rôle :
- Isolant phonique (bruits d'impacts et fonction de bande résiliente)
- Isolant thermique (modeste, modeste..)
- perméabilité à la vapeur d'eau (ce qui permet à la structure de respirer et de ne pas piéger l'humidité dans les lames du plafond).
Il faut aussi dès le départ penser à disposer correctement les gaines électriques.
Ensuite on dispose les chevrons à intervalles réguliers (multiples ou diviseurs des dimensions des dalles OSB). Ils sont justes posés (principe de la dalle flottante).
Ensuite, on répand l'isolant (thermique et phonique). On a choisi de la ouate de cellulose, qui est en fait du papier recyclé, haché et traité, une solution peu onéreuse, efficace et relativement respectueuse de l'environnement. En plus, c'est agréable à poser, c'est comme du coton, quoique très poussièreux...
Mais, ce n'est pas fini.
En effet, nos plans ont encore changé : on s'oriente vers une extension en bois, décalée de 4 mètres par rapport à l'existant. De fait, la fenêtre-plus-tard-porte du grenier devient... une fenêtre.
Du coup, changement de plan au niveau de la trémie de l'escalier, décalée dans le coin et élargie.
Pour terminer nos opérations et rendre le local habitable, il ne nous reste plus qu'à poser le linoléum qu'on avait découvert à la cave (il pèse des tonnes, mais c'est de la qualité !) On ajoute le lit et voilà !
Un dernier détail : j'ai monté une sorte de cloison devant la trémie, pour prévenir les chutes...
Margot a maintenant sa chambre.
Il ne reste "plus" qu'à poser le placo, faire la salle de bains (en face de la trémie), les joints des pierres apparentes sur les pignons, le crépi sur le conduit de cheminée, et on aura terminé les travaux du grenier....
On a opté pour un plancher en OSB posé sur chevrons, ce qui nous permet de disposer d'une surface immédiatement utilisable, en attendant de choisir le revêtement définitif.
On avait hésité à faire une dalle en béton allégé, notamment en raison de l'apport important d'humidité que ça représentait, sans compter le délai de séchage... Quant à la dalle sèche, outre le prix élevé (très), les professionnels qu'on a consulté nous ont dit qu'on manquait de recul concernant cette technique et qu'on ne savait pas quelle allait être la tenue à 10 ou 15 ans. (Si c'est pour tout changer tout les 3 ans, c'est pas la peine !)
Tout d'abord, on dispose un film plastique, qui joue un triple rôle :
- Isolant phonique (bruits d'impacts et fonction de bande résiliente)
- Isolant thermique (modeste, modeste..)
- perméabilité à la vapeur d'eau (ce qui permet à la structure de respirer et de ne pas piéger l'humidité dans les lames du plafond).
Il faut aussi dès le départ penser à disposer correctement les gaines électriques.
Ensuite on dispose les chevrons à intervalles réguliers (multiples ou diviseurs des dimensions des dalles OSB). Ils sont justes posés (principe de la dalle flottante).
Ensuite, on répand l'isolant (thermique et phonique). On a choisi de la ouate de cellulose, qui est en fait du papier recyclé, haché et traité, une solution peu onéreuse, efficace et relativement respectueuse de l'environnement. En plus, c'est agréable à poser, c'est comme du coton, quoique très poussièreux...
Il ne reste plus qu'à visser les plaques d'OSB, ce qui assure l'unité et la rigidité de la dalle. C'est là qu'on s'aperçoit de la différence entre bricoler et construire quelque chose, surtout au niveau des quantités de matériaux ! Il faut donner dans le dosage industriel.
Une fois fini, on a tout de suite une idée de ce que cela donnera :Notez à gauche de l'image le magnifique tableau électrique.Mais, ce n'est pas fini.
En effet, nos plans ont encore changé : on s'oriente vers une extension en bois, décalée de 4 mètres par rapport à l'existant. De fait, la fenêtre-plus-tard-porte du grenier devient... une fenêtre.
Du coup, changement de plan au niveau de la trémie de l'escalier, décalée dans le coin et élargie.
Pour terminer nos opérations et rendre le local habitable, il ne nous reste plus qu'à poser le linoléum qu'on avait découvert à la cave (il pèse des tonnes, mais c'est de la qualité !) On ajoute le lit et voilà !
Un dernier détail : j'ai monté une sorte de cloison devant la trémie, pour prévenir les chutes...
Margot a maintenant sa chambre.
Il ne reste "plus" qu'à poser le placo, faire la salle de bains (en face de la trémie), les joints des pierres apparentes sur les pignons, le crépi sur le conduit de cheminée, et on aura terminé les travaux du grenier....
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