On s'est décidé à démarrer la construction d'une terrasse devant la porte-fenêtre, ce qui nous permettra d'aménager un accès un peu moins casse-gueule qu'un empilement plus ou moins aléatoire de parpaings et de planches...
Donc, là encore : Pio-pioche ! (Il faut bien que je me fasse pardonner mon infidélité avec ma-masse...)
La forme est arrondie, pour éviter d'avoir l'impression de contempler un bunker depuis la rue. Le plus dur a été d'arracher les racines d'une souche de prunier que Bernard avait coupé. Ensuite, petite semelle de béton (non armé, c'est pas la peine).
C'est à ce moment-là que j'ai installé le regard sous la descente. J'en profite pour installer une évacuation sous le robinet.
La suite logique, c'est un muret en parpaings, chaîné au coin qui n'est pas arrondi. On comble le trou ainsi créé avec le reste des débris du mur en parpaings, puis, comme pour la cuve, hérisson, fers à béton et treillis soudé.
Là, il y a un morceau de bravoure, pour faire un coffrage et couler une forme arrondie. Je m'y suis repris à deux fois, avec bougonnements et bordées d'injures à faire passer le Capitaine Haddock pour un puceau en première année de séminaire...
Puis un nouveau morceau de bravoure, pour faire l'enduis tout autour : je l'ai fait à base de chaux et de sablon récupéré dans un gisement des alentours, puis tamisé. Seulement, au premier essai, ça a séché trop vite et ça s'est cassé la figure le lendemain matin... (Je vous dis pas l'humeur et l'ambiance...)
Enfin, je scelle une marche sous la porte-fenêtre.
Et voilà le résultat !
Donc, là encore : Pio-pioche ! (Il faut bien que je me fasse pardonner mon infidélité avec ma-masse...)
La forme est arrondie, pour éviter d'avoir l'impression de contempler un bunker depuis la rue. Le plus dur a été d'arracher les racines d'une souche de prunier que Bernard avait coupé. Ensuite, petite semelle de béton (non armé, c'est pas la peine).
C'est à ce moment-là que j'ai installé le regard sous la descente. J'en profite pour installer une évacuation sous le robinet.
La suite logique, c'est un muret en parpaings, chaîné au coin qui n'est pas arrondi. On comble le trou ainsi créé avec le reste des débris du mur en parpaings, puis, comme pour la cuve, hérisson, fers à béton et treillis soudé.
Là, il y a un morceau de bravoure, pour faire un coffrage et couler une forme arrondie. Je m'y suis repris à deux fois, avec bougonnements et bordées d'injures à faire passer le Capitaine Haddock pour un puceau en première année de séminaire...
Puis un nouveau morceau de bravoure, pour faire l'enduis tout autour : je l'ai fait à base de chaux et de sablon récupéré dans un gisement des alentours, puis tamisé. Seulement, au premier essai, ça a séché trop vite et ça s'est cassé la figure le lendemain matin... (Je vous dis pas l'humeur et l'ambiance...)
Enfin, je scelle une marche sous la porte-fenêtre.
Et voilà le résultat !